dimanche 27 juin 2010

L'opéra Garnier

Qu'on aime ou non l'opéra, qu'on aime ou non l'architecure d'époque, l'Opéra Garnier transmet une sensation de merveille au même titre que le Château de Versailles  et des édifices célèbres de ce monde. Aujourd'hui, Paris abrite son opéra dans un édifice très moderne situé près de la Bastille mais on ne réussira pas a me convaimncre que le style moderne offre autant de beauté que l'ancien.







Non seulement l'extérieur nous ébloui mais l'intérieur aussi. J'ai visité l'édifice librement sans guide et je suis sorti de là complètement ébloui.

Voici un résumé qui décrit l'institution.

Chef d'œuvre architectural connu dans le monde entier, le Palais Garnier est la treizième salle d'Opéra à Paris depuis sa fondation par Louis XIV en 1669. Sa construction fut décidée par Napoléon III dans le cadre des grands travaux de rénovation de la capitale conduits par le baron Haussmann. Les travaux durèrent quinze ans, de 1860 à 1875, avec des interruptions. Le Palais Garnier fut inauguré le 15 janvier 1875. 

La nef du grand escalier est un des lieux les plus célèbres du Palais Garnier. Bâtie en marbres de différentes couleurs, elle abrite les degrés de l'escalier à double révolution qui mène aux foyers et aux différents étages de la salle de spectacle.




Les salles du musée présentent tout au long de l'année des expositions temporaires thématiques et une galerie permanente rassemblant peintures, dessins, photographies et de petites maquettes de décors en volume.



Lieux de promenade des spectateurs pendant l'entracte, les foyers sont très vastes et très richement décorés.

Le grand foyer a été conçu par Garnier comme les galeries des châteaux de l'âge classique. Le jeu des miroirs et des fenêtres accentue encore ses vastes dimensions. La lyre est l'élément décoratif principal.

Rouge et or, éclairée par l'immense lustre de cristal, réchauffée par les teintes franches du plafond de Marc Chagall, la salle de spectacle, dessinée en fer à cheval, à l'italienne, compte 1900 sièges de velours rouge. Le magnifique rideau de scène de toile peinte imite une draperie à galons et pompons or.

Voilà qui traduit mon enthousiasme pour l'Opéra Garnier.



Trappes-Versailles

TRAPPES

1930 : Les employés du chemin de fer et leur famille représentent 36 % de la population.
Les dents de Scie sont une cité ouvrière construite en 1931, à proximité de la gare, afin de loger des cheminots et leurs familles.  

En 1935 la construction du dépôt de locomotives et la gare de triage font de Trappes l'un des centres ferroviaires les plus importants de France avec l’arrivée d'une main d’œuvre d'origine provinciale, essentiellement bretonneTrappes devient une cité de cheminots.



En 1944 : Lors de la seconde guerre mondiale, la ville est détruite à 71 % par les bombardements alliés visant les installations ferroviaires, il y a plus de 100 victimes. Le triste bilan de la guerre pour Trappes : 12 soldats tués, 102 prisonniers de guerre, 3 déportés morts dans les camps nazis, 20 prisonniers et déportés politiques, 98 victimes civiles ; femmes, enfants, vieillards, 44 déportés du travail dont 1 mort, 243 maisons rasées, 582 maisons sinistrées. Bien peu de Trappistes ont été épargnés.

De nos jours, la gare de Trappes fait parti du patrimoine ayant été conservée comme à son origine. (photo). Gisèle travaillait à la mairie et était sur le point de prendre sa retraite.

Aujourd’hui beaucoup de magrébens vivent à Trappes, c’est une commune essentiellement résidentielle.

VERSAILLES


Versailles, est situé  à une douzaine de kilomètres de Trappes  et est bien connue pour  son Château construit par le Roi Soleil. La visite des jardins et du Château est un émerveillement continuel.  L’ancien pavillon de chasse de Louis XIII fut transformé et agrandi par son fils Louis XIV qui y installa la Cour et le gouvernement de la France, en 1682. Jusqu’à la Révolution française, les rois s’y sont succédés, embellissant chacun à leur tour le Château.

Parmi les lieux les plus courrus du Château LA GALERIE DES GLACES ou Grande Galerie, ainsi nommée au XVIIeme siècle, servait quotidiennement de lieu de passage, d’attente et de rencontres, fréquenté par les courtisans et le public des visiteurs. On est aussi très impressionné par la Galerie des batailles évoquant par des tableaux de maîtres les différentes batailles auxquelles la France a participé à travers les siècles. J’ai trouvé une plaque qui commémore la bataille des Plaines d’Abraham de Québec et du marquis de Montcalm. Une journée bien remplie que cette visite!

Quartier Chinois, bien sûr!

À Paris, 
il y a plu-
sieurs 
quartiers 
asiatiques
ou quartiers chinois. Le plus grand est situé dans le 13e arrondissement de Paris. Y vivent principalement des populations d'origines chinoise, vietnamienne, cambodgienne, laotienne, qui opèrent la majorité des commerces du quartier. La majorité de ces populations habitent les tours de la porte de Choisy et de la porte d'Ivry.

Lex deux grands supermarchés Tang Frères sont au centre des différents commerces du secteur.

Cependant quand on marche dans les rues on a pas l’impression de visiter un quartier chinois car les signes évidents de la présence chinoise sont parsemés ici et là, sans homogénéité comme cela est le cas à Toronto ou Vancouver.
On peut donc dire qu'on entre et on sort du quartier chinois sans trop s’en rendre compte. Pour compléter cette journée, une courte visite dans un passage couvert.


Quelqu'un m'avait parlé des passages couverts à Paris, on en dénombre une quinzaine et je suis allé voir celui qui est situé dans le 2ième arrondissement sur la rue Choiseul. Il s'agit en fait d'une version d'époque du mail d'aujourd'hui. On y trouve une série de boutiques spécialisées dans des couloirs intérieurs offrant une belle architecture.


Le passage Choiseul, construit en 1829 par l'architecte Antoine Tavernier a la particularité d'être, avec ses 190 mètres, le plus long de Paris. Plusieurs ambiances s'y sont succédé, à commencer par un souffle littéraire d'importance : au numéro 23, Alphonse Lemerre édita le premier le groupe des poètes parnassiens, dont Théophile Gautier. Reliant les rues des Petits-Champs et Saint-Augustin à travers les cours de quatre anciens hôtels particuliers dont il ne reste que l'entrée, l'activité du passage est tributaire du théâtre des Bouffes Parisiens, dont la sortie s'y trouve depuis son ouverture en 1857. Mis à part un regain de fréquentation dans les années 1970, grâce à l'ouverture d'une boutique du couturier Kenzo, le passage de Choiseul ne vit désormais qu'en fonction des horaires de bureau et ferme ses grilles le soir et le dimanche. Intéressant sans plus.



Saint-Germain-des-Prés


En sortant du métro... c'est la vie, c'est l'activité quotidienne des citoyens qui vous entraîne dans le tourbillon d'un arrondissement vieillot et moderne à la fois. Devant moi, Les Deux Magots (photo) un resto-terrasse qui marque l'ambiance. Saint-Germain-des-Prés ce n'est pas qu'une équipe de foot qui fut propriété du tristement célèbre Bernard Tapie, mais aussi des bâtiment de grande valeur comme Place des Voges.

Les bâtiments du XVIIe siècle ont survécu, mais les signes du changement sont évidents. Les magasins de mode, souvent luxueux, remplacent les cabarets chers à Alain Souchon. Il a d'ailleurs écrit une chanson sur le sujet, Rive gauche à Paris.

Ce quartier a toujours été considéré comme le lieu de rencontre des intellectuels et des artistes. Il suffit de nommer Racine, Balzac, Brassens et Brel pour en obtenir la confirmation. Fut une époque alors que les caves à musique faisaient courir les mélomanes. Je n'ai pas aperçu le Blue Note où Sidney Béchet a déjà joué, ça me rend un peu nostalgique ma mélodie fétiche étant:  Petite fleur.







J'avais entendu parler de la Place Des Voges et j'y ai fait un petit détour sans trop de réaction.

En fait, l'arhitecture est agréable mais ce n'est pas une attraction touristique et quand on y connait personne, il y a peu à voir.










L'architecture dans Saint-Germain-des-Prés est varié. Pour un nord-américiain comme moi, la


facade du Holiday Inn (en haut, droite) n'est pas coutumière alors que celle du Buci m'apparaît beaucoup  plus européenne. Les photos du bas illustrent aussi l'ambiance du quartier. 


En conséquence, on peut dire que Saint-Germain-des-Prés est  bien autre chose qu'une équipe de football qu'elle soit ou non propriété de Bernard Tapis.

Je crois  bien que les exploits de ce dernier ont été balayés sous le tapis!

Piaf, je t'aime prend l'affiche au Cirque Bouglione



Gisèle avait exminé le calendrier artistique de 1996 et s’était procuré des billets pour l’une des premières représentations de : ''Piaf Je t’aime'', une comédie musicale relatant la vie de la célèbre mome. Ce fut une soirée inoubliable! Je fus comblé, moi qui connaissait bien les chansons mais qui connaissait bien peu la vie de artiste.




Nous quittames töt pour manger des moules-frites chez Léon de Bruxelles, Place de l'Opéra. C'est rapide, bon et ils sont bien des spécialistes des moules-frites, j'en ai encore l'eau à la bouche.

Léon de Bruxelles est une chaine de restaurants que l'on trouve à diverses adresses et qui offrent tous le même menu avec les mêmes recettes.

On y est confortable et l'ambiance est bonne.

Bien sûr, les moules-frites sont proposés selon diverses préparations.

Pour revenir à la présentation musicale, 
La vedette qui incarnait Madame Piaf se nommait Marie Orlandie. Je n’avais jamais entendu parler d’elle mais elle s’acquitait de son rôle à la perfection . Elle était accompagné de 32 artistes chanteurs et chanteuses, danseurs et danseuses ainsi que d’un orchestre, Le cirque d’hiver Bouglione, où on présentait le spectacle, convenait très bien à ce genre de représentations.


Un peu de l’enfance de Piaf, au début on apprend qu’elle avait été affectée par un trouble de la vue et que conduite à Lisieux elle aurait été guéri par Sainte Thérèse. Elle portait ensuite un médaillon de Sainte Thérèse à son cou.
  
Malgré une courte vie, elle est morte à 48 ans à Grasse (que j’ai visité), elle a laissé au monde un riche héritage de chansons et des milliers de visiteurs du cimetière du Père Lachaise à Paris ont défilés devant sa tombe (je suis un de ceux là).

Elle a eu de nombreux amants dont, le premier, Louis Dupont, lui avait donné une fille nommée Marcelle. Il y eu aussi : Raymond Asso, Paul Meurisse, Yves Montand (aussi enterré au Père Lachaise), Jacques Pills, Marcel Cerdan, le boxeur qui fut le grand amour de sa vie, Moustaki, Sarapo et quelques autres.

J’ai aussi appris qu’elle avait participé à la résistance de l’occupation  allemande avec ses chansons à double sens et qu’elle avait sauvé l’Olympia de la faillite.

Somme toute, une sortie de grande qualité dont je garde un impérissable souvenir.

Le Louvres, inégalable!



Je ne suis pas très musée, ceci étant dit, avec le Louvres on ne peut pas rester insensible, Il porte bien son titre du plus beau musée du monde. Ce qui ressort le plus de ma visite personnelle, c'est que je n'ai pas vu la Joconde et je ne sais  pas comment cela s'est passé. Quoiqu'il en soit je me suis délecté pendant cinq heures à parcourir les couloirs et les salles d'exposition.

L'aménagement des salles, des couloirs, des escaliers (voir photo) et de la grande cour extérieure avec la pyramide sont autant d'attraits que les sculptures, peintures et autres éléments créés par les très grands artistes de ce monde. Ainsi, pour un québécois vivant à Montréal un lien magique s'établit à la vue de la pyramide puisqu'elle a été réalisée par  l'architecte Legh Ming Pei, celui là même qui a réalisé la Place Ville-Marie à Montréal.  La structure s'élève à 21,64 mètres et est composée de 603 losanges et 70 triangles en verre. Elle est ouverte au public depuis avril 1989. Elle est tout aussi intéressante de l'intérieur que de l'extérieur.

On peut aussi passer des heures sur le site internet du Musée du Louvres à l'addresse: http://www.louvre.fr








C'est bien peu dire sur une courte visite au plus beau musée du monde mais chacun y trouve son intérêt et je ne veux pas vous imposer le mien. En sortant, une petite tournée des magasins des rues Rivoli et Saint-Honoré. J'ai fait de très brèves visites question de me rendre compte que les magasins du secteur n'offraient rien à la mesure de mes moyens. J'y ai trouvé: Lacoste, Costumes National, Maje Boutique, Anne Fontaine, Fabian de Montjoye, Petit Bateau, Jo Malone, The Kooples et Aventurine. Beaucoup de produits de luxe.















J'ai aussi visité l'équivalent de La Baie à Paris La Samaritaine.  



Enfin, lorsque je suis passé devant

le Quai D'Orsay, j'ai aperçu ce

magnidique monument.



Montmartre ce n'est pas qu'un sanctuaire





D'abord, ce qui attire à Montmartre c'est bien sûr le sanctuaire du Sacré-Coeur, mais une fois qu'on a vérifié qu'il est comme tous les sanctuaires  du monde et qu'on y a vu le déploiement commercial, il ne reste plus qu'a s'attaquer aux environs. 


D'abord, monter à l'arrière pour visiter la bute.

On est en face de dizaines de kiosques d'artistes qui exposent les oeuvres réalisées avec plus ou moins de talent. C'est la Place du Tertre. On s'aventure dans de toutes petites rues très agréables avec quelques restaurants tout aussi sympathiques.



La vue sur Paris est imprenable et l'atmosphère est au calme et à l'admiration. L'architecture de l'ensemble du quartier est vieux et intéressant. On peut déambuler longtemps sur l'avenue De Clichy, une sorte de Broadway, avec des hôtels, des restaurants et des clubs de nuit, comme le célèbre Moulin Rouge qui a fière allure même de jour alors qu'il ne s'y passe pas grand chose. Des hustlers, tente de vous attirer dans différents établissements de vidéos pornos et de peep show, même s'il n'est qu'une heure de l'après-midi.



L'avenue est large avec un terre-plein et des trottoirs d'une dimension plus que respectable.
Dans la direction opposée lorsque le Boulevard Vichy devient le Boulevard Rochechouart on trouve le Dollorama de Paris appelé Tati, au 18 Boulevard Rochechouart. Intéressant pour voir les prix.



En résumé, Montmartre est un  quartier dans lequel sont déployés des activités très diverses et au sein duquel vit une population de classe moyenne.




Le métro et la marche pour bien visiter Paris.

Même pour un étranger qui ne connait pas la ville de Paris, le métro est le moyen de transport idéal. D'abord parce qu'il vous permet de vivre avec les parisiens, parce ses stations, toutes différentes les unes des autres, valent le coup d'oeil; et que vous aurez souvent droit à un petit layus pour collecter des fonds de la part de professionnels larmoyants et pénitents.

J'ai utilisé un plan avec lequel je préparais mes itinéraires et n'ai jamais fait d'erreur qui aurait exigé une longue correction. À la fin, je m'y connaissais aussi bien que bien des parisiens. Je prenais le train vers 9h le matin et rentrais par le train qui quittait Paris vers 17h30.

Il y a 300 stations, couvrant 214 kilomètres et la première ligne a été construite en vue de l'exposition universelle de 1900. Certaines stations sont à l'extérieur sur des voies élevées avec des points d'arrêts très simplement constitués de tourniquets et de quai d'embarquement. Il y a presque toujours plusieurs alternatives tellement les croisements de ligne sont bien faits.



Les lignes de RER croisent aussi le métro. Ces trains vous permettent de longues distances jusque dans les banlieues et les aéroports. On peut aussi compter sur le métro pour rejoindre les gares de trains comme celui que je prenais à la gare Montparnasse pour rentrer à Trappes.








Les tarifs sont établis en fonction du nombre de zone que vous traversez et votre billet vous sert de transfert puisqu'il vous est remis une fois que vous l'avez inséré dans la machine perceptrice du tourniquet. Surtout, n'oubliez pas de le récupérer.

Lors de mes premiers passages par la gare Montparnasse, il y avait des militaires armés et tous les couvercles de poubelles avaient été fermés par une plaque de métal, c'était la vigie-pirate, une opération de sécurité anti-terroriste.

Je profitais donc de mes journées pour visiter pendant que Gisèle travaillait et lors des weekends et des congés nous avions d'autres activités comme la présentation musicale de ''Piaf je t'aime'' qui fait l'objet d'un autre article.

Notre-Dame et La Seine


On a beau avoir vu des centaines de vidéo ou de films représentants Notre-Dame, une visite sur place est une expérience qui n'a pas de prix. Depuis l'extérieur, où on jette un oeil sur la borne du kilomètre zéro jusqu'au sommet du grand clocher, en passant par la nef... tout est de l'art à un haut degré et tout est intéressant.

C’est en présence du Pape que la construction de Notre-Dame a été amorcée en 1613.  Différentes étapes de travaux se sont succédées et ont peut dire qu’ils ne se sont jamais arrêtées. On peut lire les détails sur le site officiel de Notre-Dame à :


L’église n’a jamais subit de dommages par les deux grandes guerres mondiale.
On a restauré le grand orgue en 1990 et aujourd’hui joué sur cet orgue n’est pas un privilège réservé a tous. Un québécois, Pierre GrandMaison, a obtenu cet honneur.

L’écrivain Paul Claudel dit avoir trouvé la foi dans cet église.

On en finit plus de tourner la tête, on regarde au plafond, on admire des centaines de sculptures dans la pierre, dans le bois. Chaque coin et recoin recelle la beauté et on se laisse aller à fixer différents détails qui deviennent fascinants.

On déambule sur les grands carreaux noirs ou blancs en forme de damier d’une vaste superficie et on en sort avec l’impression d’avoir vu une infime partie des points d’intérêts.
Une fois dehors c’est La Seine qui reprend la tête d’attraction avec ses bateaux-mouche et tous ses ponts aux architectures émerveillantes.

Je me suis payé une croisière à bord d’un de ses bateaux qui nous font voir Paris d’une toute autre manière, ce qui en justifie le prix. Il en sera question dans le blog sur l'Ile Saint-Louias.

La Seine et la tour Eiffel forment un tout qui restent à jamais gravé dans la mémoire. Non loin de ce lieux, un quartier fort sympathique, l'Ile Saint-Louis.





L'Ile Saint-Louis fait corps avec la Seine et on y retrouve des bâtiments caractéristiques de l'europe. En faire le tour à pied est un exercice calme et reposant. Il n'y a pas beaucoup à voir sur l'île qui fut d'abord appelée Ile Notre-Dame. C'est un  lieu résidentiel depuis 1640 et on y compte beaucoup d'hôtels particuliers. On apprend que Beaudelaire et Moustaki ont déjà été des résidents de l'ïle.





Pour mieux connaître les abord de la Seine, rien ne vaut une excursion en bateau-mouche dont la durée est de 70 minutes. On monte à bord au pont de l'Alma et on prend la direction de Montmartre, On croise le Palais de Chaillot, la Maison de la radio et la mini statue de la Liberté faisant demi-tour dans l'Allée des cygnes. On passe emsuite devant la Tour Eifel pour la seconde fois avant d'apprécier Les Invalides, le Palais Bourbon, le Musée de la Légion d'Honneur, le Quai d'Orsay l'École des Beux-Arts, l'Institut de France, l'Hôtel de la Monnaie,
l'église Notre-Dame... Nous arrivons près de l'Ile Saint-Louis que nous allons contourner afin de retourner au port d'attache par l'autre côté. Les dernier coups d'oeil seront pour la Mairie, Le Louvres et Place de la Concorde.

Une fois descendu du bateau le pont de l'Alma attire notre attention car la Princesse Diana était décédé, près de là, le 31 août 1997 et il y avait encore des témoignages de sympathie regroupés autour de la flamme de la liberté.


Toutes les conversations portaient sur cet événement et la sympathie des français pour la princesse était à son comble.

Il y avait des quantité de témoignages formulés de diverses façons, photos, fleurs, textes,etc.

Vraiment touchant et faisant appel aux émotions.

De la flamme on aperçoit le tunnel dans lequel la voiture de la princesse a été percutée.

De nombreux éléments de cette histroire ne seront jamais éclaircis.